La principale question soulevée dans cet appel était de savoir si le Tribunal du contentieux du Tribunal avait eu raison de rejeter la requête de M. Shah comme étant irrecevable ratione materiae parce qu'il ne contestait pas une décision administrative finale. L'UNAT a estimé que le Tribunal avait conclu à juste titre qu'un mémorandum interservices modifiant les lignes hiérarchiques de tous les membres du personnel travaillant du côté indien du Groupe d'observateurs militaires de la Mission des Nations Unies en Inde et au Pakistan (UNMOGIP) ne constituait pas une décision administrative...
L'UNAT a d'abord rejeté l'appel de M. Okwakol contre l'ordonnance du UNDT, estimant que les plaintes de M. Okwakol concernant ce que l'UNDT avait décidé d'admettre comme preuve et les arguments qu'elle prendrait en considération pour trancher son affaire au fond, étaient réparables dans le cadre de son appel sur le mérite s’ils ont été mal décidés. L'UNAT a reconnu que le Tribunal avait eu raison d'admettre l'enregistrement audio réalisé par la victime d'EAS car l'administration s'était appuyée sur ces éléments de preuve pour prendre la décision d'imposer la mesure disciplinaire de cessation...
En l'espèce, le Tribunal a estimé que la requête n'était pas recevable ratione personae parce qu'à la date de son dépôt, le requérant n'était pas membre du personnel et que la décision contestée n'enfreignait pas les conditions de son ancien engagement auprès de l'UNOPS.
En outre, l'UNOPS et l'UNGSC sont deux entités différentes du système des Nations Unies. Si le requérant était un ancien membre du personnel de l'UNOPS, il n'avait pas de relation de travail avec l'UNGSC. Il était un candidat externe qui n'avait pas qualité pour contester la décision de ne pas le sélectionner pour le poste...
En tant que titulaire d'une offre d'affectation d'un Volontaire des Nations Unies, le requérant ne peut pas introduire une requête devant le Tribunal, car il n'est ni un membre du personnel ou un ancien membre du personnel des Nations Unies, ni une personne faisant des réclamations au nom d'un membre du personnel des Nations Unies frappé d'incapacité ou décédé.
Deuxièmement, il n'y a aucune preuve que le requérant a soumis une demande d'évaluation de la gestion en temps voulu.
Par conséquent, la demande n'est pas recevable reatione personae et ratione materiae.
La décision contestée identifiée par le demandeur n'est pas une décision administrative finale liée aux conditions de nomination ou du contrat de travail du demandeur. Il s'agit d'une décision opérationnelle de la demande générale qui a favorisé un changement dans les lignes de déclaration de tous les membres du personnel qui servent dans cette organisation. Une telle décision est dans le cadre de la discrétion managériale de l'organisation en question. En conséquence, la demande n'est pas à recevoir ratione materiae.
Dans le jugement n ° 2010-UNAT-050, Unat a jugé que l'appel était barré et non à recevoir car il n'a pas été déposé dans les 45 jours civils suivant la réception du jugement UNDT. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il n'avait aucune compétence pour recevoir l'appel de l'appelant avant le coup. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND. Dans le jugement n ° 2010-UNAT-050 / Corr. 1, Unat a noté que l'appelant avait obtenu une prolongation de délai pour déposer un appel au 16 février 2010 et il a déposé son appel à cette date. UNAT a rejeté la soumission du...
Dans le jugement n ° 2010-UNAT-050, Unat a jugé que l'appel était barré et non à recevoir car il n'a pas été déposé dans les 45 jours civils suivant la réception du jugement UNDT. Unat a jugé que UNDT avait correctement conclu qu'il n'avait aucune compétence pour recevoir l'appel de l'appelant avant le coup. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UND. Dans le jugement n ° 2010-UNAT-050 / Corr.1, Unat a noté que l'appelant avait obtenu une prolongation du délai pour déposer un appel au 16 février 2010 et qu'il a déposé son appel à cette date. UNAT a rejeté la soumission du...
UNAT a rejeté l'appel interlocutoire du Secrétaire général contre l'ordonnance de l'UND comme non à recevoir, concluant que l'UNT avait une autorité discrétionnaire dans la gestion des cas et la production de preuves dans l'intérêt de la justice. Unat a jugé que UNDT avait décidé d'une mesure d'enquête, dont il avait la seule autorité d'évaluation. Unat a soutenu qu'il n'était pas dans l'intérêt du système interne de justice d'envisager un appel contre une simple mesure d'enquête.
Le Secrétaire général a fait appel de l'ordonnance UNDT. Unat a jugé que, lorsque la mise en œuvre d'une décision administrative est imminente, sans faute ni retard de la part du membre du personnel, et se déroule avant les cinq jours prévus en vertu de l'article 13 de UNT ROP s'est écoulé, et où undt n'est pas En mesure de prendre une décision en vertu de l'article 2. 2 de la loi UNDT, i. e. Parce qu'il nécessite plus d'informations ou de temps pour réfléchir à la question, il doit avoir le pouvoir discrétionnaire d'accorder une suspension de l'action pendant ces cinq jours. Pour trouver le...
Unat a considéré un appel du secrétaire général. Unat a jugé que UNDT, en vertu de l'article 8.3 de sa loi, était autorisé à renoncer aux délais de dépôt de demandes dans certaines situations, mais que le membre du personnel n'avait pas soumis de demande écrite de renonciation et à justifier des circonstances exceptionnelles. Unat a jugé que UNDT ne pouvait examiner si des circonstances exceptionnelles existaient à moins que le personnel n'ait soumis une demande écrite de renonciation préalable. Unat a jugé que UNDT avait interprété les articles 19 et 35 de l'UNDT ROP d'une manière qui était...