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Le TANU a estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en concluant que le changement de titre de l'ancienne fonctionnaire à la suite d'un reclassement n'équivalait pas à une abolition ou à une suppression de son poste, ce qui rendait son licenciement illégal.

Le TANU a également estimé que le Tribunal n'avait pas commis d'erreur en accordant à l'ancienne fonctionnaire une compensation en lieu et place de deux années de salaire de base net. À cet égard, le TANU a souligné que le Tribunal avait correctement pris en compte le fait que l'engagement permanent de l'ancienne fonctionnaire...

Le Tribunal annule la décision de résilier l’emploi et les ordonnances du demandeur: (i) l'intimé de rétablir le demandeur à un poste dont elle est en mesure d'exécuter compte tenu de la déficience qu'elle souffre; (ii) ordonne à l'intimé de rendre les bénéfices perdus du demandeur à partir de la date de résiliation de sa nomination à durée déterminée à la date de sa réintégration avec intérêt à 8% par mois pour ladite période; (iii) ordonner que le demandeur lui soit payé pour la période du 28 mars 2007 au 31 juillet 2007 au cours de laquelle elle avait droit à un congé de maladie spécial;...

Selon les anciens règlements 9.1 et 9.3 du personnel, la décision d'offrir une résiliation convenue est à la discrétion du secrétaire général. Conformément à la «note sur le licenciement convenu», une directive utilisée par l'administration pour assurer un traitement égal, le demandeur n'était pas dans une situation dans laquelle l'organisation peut avoir considéré qu'un licenciement convenu était dans l'intérêt de la bonne administration. En fait, ses problèmes de santé n'étaient pas assez graves pour empêcher l'exercice approprié de ses fonctions conformément aux recommandations du service...

Le processus menant à la décision de résiliation. Un bureau des ressources humaines, comme OHR, a l’obligation de veiller à ce que ses décisions administratives soient prises de manière appropriée et, si nécessaire, de faire les demandes nécessaires pour garantir cela pour protéger les droits du membre du personnel concerné. OHR n'a pas informé le demandeur et les conseillers médicaux pertinents sur les conséquences de sa déclarée handicapée par le TASPC et sur ses alternatives possibles. OHR n'a pas non plus retarder l'examen du cas du demandeur par UNSPC. Toutes ces circonstances ont violé...