En appliquant le sens simple de la règle 9 du personnel, il est clair que l'administration n'a aucune obligation de placer des membres du personnel qui détiennent un rendez-vous à durée déterminée dont les postes sont supprimés. Il n'y a aucune obligation de placer ces membres du personnel dans d'autres postes en dehors du processus de sélection régulière.
Le Tribunal rejette la demande comme non à la créance. La demande d’évaluation de la gestion du demandeur le 13 novembre 2017 a été déposée plus de 60 jours après la notification de la décision le 31 mars 2017.
En appliquant le sens simple de la règle 9 du personnel, il est clair que l'administration n'a aucune obligation de placer des membres du personnel qui détiennent un rendez-vous à durée déterminée dont les postes sont supprimés. Il n'y a aucune obligation de placer ces membres du personnel dans d'autres postes en dehors du processus de sélection régulière.
En appliquant le sens simple de la règle 9 du personnel, il est clair que l'administration n'a aucune obligation de placer des membres du personnel qui détiennent un rendez-vous à durée déterminée dont les postes sont supprimés. Il n'y a aucune obligation de placer ces membres du personnel dans d'autres postes en dehors du processus de sélection régulière.
En appliquant le sens simple de la règle 9 du personnel, il est clair que l'administration n'a aucune obligation de placer des membres du personnel qui détiennent un rendez-vous à durée déterminée dont les postes sont supprimés. Il n'y a aucune obligation de placer ces membres du personnel dans d'autres postes en dehors du processus de sélection régulière.
Le tribunal a constaté que le demandeur avait identifié la décision contestée comme des «allégations d'inconduite» portées contre elle. Il était clair que l'administration devait encore prendre une décision de la discipliner ou non. Les allégations d'inconduite ne sont qu'un acte préfabriqué, à partir duquel aucune conséquence directe ne résulte des termes de l'emploi du demandeur. En conséquence, la demande a été jugée non à recevoir pour manquer d'une décision administrative révisable et elle a été rejetée.
Le tribunal a jugé que les faits découlaient de l’ancienne relation d’emploi du demandeur avec le HCR. En conséquence, le tribunal a constaté que la demande était à recevoir.
Le Tribunal rejette la demande comme non à la créance. La décision contestée de placer une note sur le dossier officiel du demandeur n'est pas une décision administrative appelable car elle n'a pas de conséquences juridiques directes affectant les termes et conditions de sa nomination. Le demandeur devrait avoir demandé une évaluation de la gestion dans les 60 jours à compter de la notification des décisions contestées le 5 août 2017, mais il a plutôt demandé une évaluation de la gestion le 3 novembre 2017, plus de 60 jours plus tard. Par conséquent, la demande n'est pas à la créance comme...
Présenté Le demandeur n'a pas demandé d'évaluation de la gestion des décisions contestées suivantes: 1) L'administration n'a pas pris les mesures appropriées en relation avec sa plainte; 2) des retards indus dans l'enquête, dans l'initiation et la conduite d'un processus disciplinaire, et pour prendre la décision finale sur l'imposition de sanctions disciplinaires contre ses anciens superviseurs; et 3) L'administration ne prend pas les mesures appropriées pour la protéger contre le harcèlement sexuel dans son environnement de travail et pour remédier aux dommages subis. En outre, le tribunal n...
La demande n'était pas à recevoir Ratione tempis car elle aurait dû être déposée le 11 novembre 2021 au plus tard, mais a été déposée le 1er décembre 2021.