Le Tribunal a estimé que le requérant avait satisfait à toutes les conditions requises pour la suspension du recours en démontrant que la décision attaquée semblait prima facie illégale, qu'il s'agissait d'une affaire particulièrement urgente et que l'exécution de la décision causerait un préjudice irréparable.
Le Tribunal a souscrit à la conclusion du Tribunal sur la recevabilité de la demande, mais a suggéré que le Tribunal aurait dû appliquer une méthode différente pour statuer sur la demande.
Le Tribunal a estimé que le fonctionnaire n’avait pas qualité pour agir devant le Tribunal en ce qui concerne les réclamations formulées en sa qualité d’entrepreneur individuel, de sorte que cette demande a été rejetée pour des motifs ratione personae. Les autres demandes formulées en sa qualité d’ancien fonctionnaire ont été rejetées pour des raisons ratione materiae. Il n’a pas réussi à le prouver qu’une...
À titre préliminaire, Unat a rejeté les appels de deux membres du personnel qui n'étaient pas partie à la procédure devant l'UNDT et n'avaient pas de position. Sur le fond, Unat a jugé qu'il y avait une décision administrative révisable au sens de l'article 2, paragraphe 1, a) de la loi UNDT. Unat a jugé que l'UNDT avait commis une erreur en concluant que l'annonce par l'USG / DGACM datée du 8 avril 2021 que la charge de travail quotidienne des traducteurs serait passée à 5,8 pages et de l'auto-retour à 6,4 pages, n'était pas une décision administrative appelable aux fins des fins de Article 2...
UNAT a considéré les appels du Secrétaire général contre les décisions de l'UNT ordonnant la suspension des décisions contestées au-delà de la date limite pour l'évaluation de la direction. UNAT a précisé que, en général, seul l'appel contre les jugements finaux serait à recevoir, car sinon, les affaires se poursuivraient rarement si l'une ou l'autre des parties n'était pas satisfaite d'une décision procédurale. L'article 2.2 de la loi UNDT autorise l'UND à ordonner la suspension d'une décision contestée uniquement «pendant la durée de l'évaluation de la gestion». Unat a constaté que UNDT...
Unat a considéré deux appels, un par Mme S. Nourain et un par Mme A Nourain, contre le jugement n ° UNT / 2012/142. UNAT a rejeté l'appel de Mme A. Nourain car elle n'était pas partie à la procédure et n'avait aucune position pour faire appel. Unat a soutenu que les faits n'étaient pas contestés; L'inconduite avait été établie, tout comme sa gravité. Unat a jugé qu'il ne pouvait pas dire que la sanction du licenciement était injuste ou disproportionnée par rapport à la gravité des infractions. UNAT a rejeté l'appel de Mme A Nourain comme non à recevoir et l'appel de Mme S. Nourain sur le fond.
Cette affaire a été présidée par le juge Honfeld et le juge Murphy a rédigé l'opinion majoritaire. La majorité (Halfeld, Murphy, Raikos et Knierim) a rejeté l'appel et a jugé que l'appel n'était pas à recevoir. Sans décider de la question de savoir si le UNT a un droit inhérent à détenir un outrage non contenant, la majorité a constaté que l'appel ne répondait pas aux exigences de la loi Unat. La majorité a expliqué qu'il avait compétence à entendre et à porter un jugement sur un appel conformément à l'article 2, paragraphe 1, de la loi dans laquelle il est affirmé que l'UNDT a: a) dépassé sa...