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L’UNAT a d’abord rejeté la demande d’audience de M. Guenfoudi.

L'UNAT a conclu qu'en tant que membre de longue date du Secrétariat, M. Guenfoudi était conscient des normes de performance requises pour sa fonction de traducteur verbatim. L'UNAT a également estimé qu'il avait eu une possibilité équitable de remédier à ses lacunes en matière de performances, mais il a refusé de participer aux deux plans d'amélioration des performances. L’UNAT a estimé que le cadre juridique de l’Organisation indiquait clairement que le licenciement était une mesure prévisible après deux années consécutives de...

Mme Mkhabela a fait appel.

En ce qui concerne la recevabilité ratione temporis, l'UNAT a estimé que le RC ne pouvait pas être considéré comme ayant légalement prolongé les délais de dépôt d'une demande de contrôle hiérarchique. Outre le fait qu’il n’existe aucune preuve d’une telle promesse, la vérité est que le CR ne disposait pas d’un tel pouvoir, qui est uniquement conféré au Secrétaire général, comme le prescrit l’article 11.2(c) du Règlement du personnel. De même, l'affirmation de Mme Mkhabela selon laquelle elle n'a pas été informée des raisons ou de la décision de s'écarter du plan de...

Le Tribunal du contentieux administratif était confronté à deux versions inconciliables de l'affaire et il lui fallait donc s'assurer de la crédibilité et de la fiabilité des différents témoins factuels et des probabilités. Cette tâche a été rendue particulièrement difficile pour le Tribunal du contentieux administratif dans la mesure où les témoins concernés n'ont pas présenté leurs dépositions en personne. En l’espèce, les éléments de preuve présentés par le Secrétaire général étaient d’une nature et d’une valeur extrêmement limitées. Le Secrétaire général s’est appuyé exclusivement sur le...

Le demandeur a demandé une évaluation de la gestion le 27 janvier 2023. La date limite pour la réponse à l'évaluation de la gestion était le 13 mars 2023. Le requérant a déposé sa demande le 13 février 2023, soit 28 jours avant la date limite de réponse à l'évaluation de la gestion. Par conséquent, le Tribunal a estimé que la demande avait été déposée prématurément et qu'elle n'était donc pas recevable.

Les conclusions du Tribunal sont les suivantes :

- La décision contestée concernait l'utilisation de l'évaluation des performances pour pénaliser le requérant.

- Le Tribunal était compétent pour réexaminer une décision contestée qui remplit les conditions énoncées à l'article 2.1(a) du Statut de l'UNDT. 2.1(a) du Statut de l'UNDT.

  • - L'évaluation des performances a été menée et achevée avec la mention "répond avec succès aux attentes" par le Bureau des relations extérieures de la requérante et approuvée par son Bureau des relations extérieures. Il s'agissait d'une décision unilatérale...
Appealed

L'UNAT a jugé que, en vue du dossier de cas, la décision administrative contestée était la décision de ne pas reclassifier le poste du membre du personnel, qui a été communiqué à l'appelant dans une réponse définitive et sans ambiguïté le 9 juillet 2019.

Les lettres ultérieures à l'appelant n'étaient que des réitérations uniquement de cette décision. L'UNRWA DT avait raison de conclure que l'appelant n'a pas soumis de demande de révision en temps opportun, comme requis avant de déposer sa demande auprès de l'UNRWA DT, étant donné que M. Abu Heija n'avait déposé sa demande de révision de la...

En ce qui concerne l'appel par le Secrétaire général de la conclusion de l'UNDT que l'inconduite en vertu du chef 2 n'a pas été établie, l'UNAT a jugé que l'UNDT ne s'est pas trompé en fait, ce qui a entraîné une décision manifestement déraisonnable. Les messages envoyés par le membre du personnel à son voisin étaient des suggestions et des déclarations à une personne qui n'était pas témoin à l'époque. Le membre du personnel n'était pas sous et ne soupçonnait pas qu'il serait probablement sous une enquête au moment où il a envoyé les messages.

Le voisin les a trouvé appropriés et ne se...

UNAT a jugé que le mémorandum contesté n'était pas une décision administrative car l'appelant n'a pas identifié comment elle affectait ses conditions ou conditions de nomination. Unat a jugé que le mémorandum contesté concernait une délégation générale de l'autorité et, par conséquent, était une décision de demande générale.

Unat a jugé que l'UNRWA DT exerçait son pouvoir discrétionnaire pour poursuivre le jugement sommaire légalement et de manière appropriée. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur lorsqu'elle a décidé que la demande de l'appelant n'était pas à recevoir Ratione Materiae. UNAT a noté que l'affaire était presque identique à Oussama Abed & Eman Abed c. Commissaire général de l'Agence des Nations Unies pour Relief and Works pour les réfugiés palestiniens du Proche-Orient (jugement n ° 2022-UNAT-1297). Conformément à ce jugement, Unat a jugé que le placement d'une lettre rappelant à l...