Le Tribunal a statué comme suit
1. Le requérant s'est livré à plusieurs reprises à des tentatives de corruption en demandant de l'argent à au moins six réfugiés en échange de la promesse de services du HCR qui auraient dû être fournis gratuitement. Par conséquent, la décision de licencier le requérant était légale.
2. Les faits reprochés à la requérante ont été prouvés de manière cohérente et non équivoque, et le défendeur s'est acquitté de la charge de prouver que la requérante a accepté des pots-de-vin de la part de certains réfugiés, ou du moins qu'elle les a demandés.
3. La mesure...