Unat considérait les appels de l'appelant. Unat n'a pas trouvé de mérite dans les allégations de l'appelant selon laquelle l'UNRWA DT a commis une erreur sur les questions de droit et de procédure en concluant que la situation de sécurité et la sécurité du personnel ont été examinées par l'administration sur la base des règlements des Nations Unies concernant la sécurité des membres du personnel. Unat a jugé que les appelants n'avaient pas démontré d'erreurs dans la conclusion de l'UNRWA DT que la décision de l'administration d'évaluer et de résilier leur service résulte d'un exercice valide...
Unat a considéré l'appel de l'appelant des deux décisions de l'UNRWA DT. Unat a noté que l'UNRWA DT a pris en considération pleinement la réclamation de l'appelant selon laquelle le transfert était une mesure disciplinaire déguisée à la suite d'allégations de châtiment corporel des étudiants. UNAT a noté qu'il y avait des preuves qu'avant son transfert, le chef du programme d'éducation sur le terrain avait rejeté ces allégations non fondées et ce n'est que près de deux mois après le transfert que le bureau de Jordan sur le terrain a autorisé une enquête. Unat a jugé que l'UNRWA DT a donc...
Unat a jugé que, comme l'appelant n'avait pas présenté de demande au Comité de justice interne de l'UNRWA sur la question de la récusation et du conflit d'intérêts, il ne permettrait pas que la question soit soulevée pour la première fois en appel. Unat a soutenu que l'appelant n'avait pas établi dans son appel qu'il était déraisonnable pour Unrwa DT de conclure qu'il n'y avait aucune preuve de parti pris dans la décision d'abolir son poste. UNAT a rejeté l'appel et a confirmé le jugement de l'UNRWA DT.
UNAT a rejeté la demande d'audience orale ne trouvant pas la plus grande clarification des problèmes. Unat a jugé que l'appelant n'avait pas identifié les motifs de son appel, considérant qu'il est défectueux. Unat a convenu avec Unrwa DT que l'appelant n'avait pas respecté la règle 111.3 du personnel, qui prescrit que le membre du personnel est tenu de faire appel au JAB dans les trente jours. Unat a jugé que la conclusion de l'UNRWA DT selon laquelle la demande n'était pas à recevoir ne présentait aucune erreur de droit ou de fait. Non rejeté l'appel et affirmé le
Sur la décision de reporter la séparation pour des motifs médicaux, UNAT a noté qu'un membre du personnel avait le droit d'être indemnisé pour une blessure incurreuse. Unat a constaté que l'UNRWA DT avait commis une erreur en droit pour déterminer la décision de reporter la séparation de l'appelant pour des motifs médicaux jusqu'à la fin du processus disciplinaire. Notant que l'appelant n'a fourni aucune preuve à l'appui de sa revendication de souffrance psychologique (ou de préjudice), l'UNAT n'a pas accordé une compensation morale. Sur la question du SLWOP, étant donné la nature et la...
Unat n'a trouvé aucune erreur dans le DT DT constatant que l'application n'était pas à la créance rationne tempis. Unat a rejeté l'affirmation de l'appelant selon laquelle Unrwa dt a commis une erreur en ce qu'elle avait examiné l'obtention de sa demande Sua Sponte, sans qu'elle ait été soulevée par l'intimé, jugeant que la compétence de l'UNRWA DT pour examiner l'observation des délais statutaires pour le dépôt d'une demande peut être possible une demande que peut demander une demande que une demande peut être possible une demande que peut demander une demande que peut demander une demande...
UNAT a considéré la demande de l’appelant d’une audience orale et des réclamations de dommages-intérêts moraux et de réintégration. Unat a jugé que les questions factuelles et juridiques résultant de l'appel ont déjà été clairement définies par les parties et n'ont pas constaté qu'une audience orale «aiderait à l'élimination rapide et équitable de l'affaire. "À cette fin, Unat a nié la demande de l'appelant pour une audience orale. Unat n'a trouvé aucune faute avec la conclusion de l'UNRWA DT selon laquelle il était hautement probable que l'appelant avait un rôle de leadership dans les...
Unat a réfléchi à la question de savoir si Unrwa dt a commis une erreur en concluant que l'agence avait correctement décidé de ne pas transférer l'appelant au poste en question. Unat a jugé que la question de savoir si l'agence avait l'obligation de contacter tous les membres du personnel qui ont fait une demande de transfert n'est pas à recevoir car il n'a pas été soulevé avant Unrwa DT. Unat a jugé que la plainte de l’appelant exigeait des conclusions factuelles afin de déterminer si la réclamation était méritoire et que l’UNRWA DT n’a pas fait ces conclusions. UNAT a confirmé l'appel...
UNAT a considéré l'appel de l'appelant, demandant que le jugement de l'UNRWA soit annulé. Unat a convenu avec Unrwa DT et a confirmé ses conclusions selon lesquelles l'agence avait droit, en vertu des dispositions du paragraphe 2 de FTI 01/2016, de remplir le poste concerné au moyen d'un transfert latéral des membres actuels du personnel. UNAT a également convenu et a confirmé la décision qu'il n'était pas dans le cadre de l'UNRWA DT de se prononcer sur l'exercice de la discrétion de l'agence pour décider des transferts latéraux à moins qu'il n'y ait des preuves que le pouvoir discrétionnaire...
Unat a considéré l'appel. Unat a noté que l'appel était défectueux parce que l'appelant n'avait identifié aucun des cinq motifs d'appel indiqués à l'article 2.1 comme formant la base juridique de son appel. Unat a constaté qu'il n'avait pas respecté son obligation statutaire en tant qu'appelant, en ce que rien qu'il plaidait n'était capable de démontrer que l'UNRWA DT a commis une erreur de fait ou de loi justifiant l'intervention de Unat. Unat a également constaté que l'appelant n'avait démontré aucune erreur dans la conclusion de l'UNRWA DT et n'avait fourni aucune preuve à l'appui de ses...