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Le Tribunal a examiné les documents justificatifs déposés par la requérante et a compris qu'elle était confrontée à des circonstances personnelles qui affectaient sa capacité à examiner les documents judiciaires et à préparer des observations en tant que requérante non représentée par un avocat. Le Tribunal a également tenu compte du droit d'accès de la requérante au système interne de justice. En même temps, le Tribunal ne pouvait pas continuer à prolonger les délais de dépôt habituels et à retarder la procédure indéfiniment.

Le Tribunal a considéré que les intérêts de la justice, y compris...

Dans le contexte de la présente affaire, le Tribunal estime que les notifications électroniques de l'UMOJA concernant les relevés de temps et de présence du requérant, qui lui ont été automatiquement envoyées tous les mois pendant la période pertinente de quatre ans, n'étaient rien d'autre que des mises à jour de l'état de ses relevés de congés. Aucune de ces mises à jour ne constituait donc une décision administrative distincte et individuelle au sens de l'article 2, paragraphe 1, point a), de la directive. 2.1(a) du Statut du Tribunal du contentieux administratif contre lesquelles le...

Le Tribunal a noté que, comme le stipule l'art. 5.1 de la norme ST/AI/2017/1, « le BSCI conserve l’autorité ultime pour décider quelles affaires il examinera et déterminera si les informations reçues concernant une conduite insatisfaisante méritent une action ».

En conséquence, le Tribunal a considéré que la décision contestée était légale.

Étant donné que la décision du BSCI de ne pas ouvrir d’enquête constituait un exercice légitime du pouvoir discrétionnaire de l’Administration, rien ne justifiait de renvoyer cette affaire au Secrétaire général afin qu’il puisse prendre des mesures pour faire...

Le Tribunal a estimé que la demande était recevable au motif qu'une évaluation négative des performances a des conséquences juridiques pour le membre du personnel concerné et qu'elle peut faire l'objet d'un réexamen.

De l'avis du Tribunal, le défendeur n'a pas démontré que le Secrétaire général des Nations Unies avait engagé avec le requérant une discussion appropriée sur ses performances ou qu'il lui avait fourni un retour d'information suffisant sur ses lacunes, comme l'exigent les sections 7.1, 7.2 et 10.1 de l'instruction administrative ST/AI/2021/4. 7.1, 7.2 et 10.1 de l'instruction ST...

C'est l'Organisation, et non le requérant, qui est la partie lésée dans toute allégation de mauvaise conduite concernant le non-respect éventuel par un membre du personnel des règles et règlements financiers de l'Organisation des Nations Unies.

Si le requérant avait l'obligation permanente, en tant que membre du personnel, de signaler toute faute présumée à cet égard, il n'avait pas le droit d'être informé d'une enquête ou d'une mesure prise à ce sujet. La section 4.7 de l'instruction administrative ST/AI/2017/1 dispose que « [s]auf disposition expresse de la présente instruction ou d'autres...

Le Tribunal du contentieux administratif n’avait aucune trace d’une affaire déposée par le Requérant qui lui avait été transférée par le JDC lorsque le nouveau système de justice interne de l’ONU est entré en vigueur en juillet 2009.

Compte tenu du fait que le demandeur n’a pas donné suite à sa demande pendant plus de 12 ans et de l’absence de tout dossier concernant une affaire qui lui a été renvoyée, le Tribunal ne se considère pas saisi de la demande déposée en 2007 devant le JDC.

Par conséquent, le Tribunal conclut que la requête n’est pas recevable.

La demande d'évaluation de la gestion présentée par le requérant le 16 septembre 2023 n'a pas été déposée dans les délais, car elle a été déposée après l'expiration du délai de 60 jours prévu par la règle 11.2(c) du Règlement du personnel. Toutefois, il n'y a pas de question d'autorité de la chose jugée dans le cas présent.

En l'absence d'informations et/ou de preuves supplémentaires, le DSS/SSS a en effet agi dans le cadre de son pouvoir discrétionnaire en vertu de l'article 1.2(c) du Statut du personnel et de l'art. 100.2 de la Charte des Nations Unies, en décidant de ne pas donner suite à la...

2024-UNAT-1493, AAY

Le Tribunal d'appel a estimé que, dans son traitement rigide des preuves relatives au comportement d'AAY, l'UNDT n'a pas tenu compte de ce qu'avait admis AAY lorsqu'il avait été interrogé par le Bureau des services de contrôle interne. Le fait qu'AAY ait choisi de ne pas témoigner lors de l'audition de l'UNDT montre clairement qu'il s'en tient à la déclaration qu'il a faite aux enquêteurs du BSCI. L'UNDT était tenue de prendre en compte cette preuve incontestée de sa part dans son évaluation de la preuve de la faute commise à son encontre, d'autant plus qu'il n'a pas choisi de témoigner...

La décision de licencier le requérant était légale. L'administration a légalement entrepris la procédure de licenciement pour abandon de poste en vertu de la disposition 9.6(b) du Règlement du personnel. Le Tribunal a estimé que, compte tenu du contexte des absences prolongées non autorisées de la requérante, ainsi que de son inaction et de son incapacité à répondre aux diverses communications de l'Administration, y compris la demande de fournir la preuve requise que son absence était involontaire et causée par des forces indépendantes de sa volonté avant le 9 mai 2023, l'Administration a...

L'instruction ST/AI/2020/5 ne s'applique qu'aux décisions de sélection prises à partir (a) d'une « liste de candidats » qui a été « approuvée par un organe central de contrôle » ou (b) d'une liste de candidats à un concours. Aucune de ces situations ne s'applique en l'espèce. Il est incontesté que la décision de sélection contestée était régie par l'instruction administrative ST/AI/2010/3/Rev.1 (Système de sélection du personnel), dont la section 3.1 dispose que « [l]a décision de sélection doit être prise sur la base d'une liste de candidats ». 3.1 prévoit que « [l]a procédure de sélection et...