2014-UNAT-472, Nianda-Lusakueno
UNAT a rappelé qu'il a toujours jugé que l'article 8, paragraphe 3, de la loi UNDT doit être lu littéralement pour interdire à l'UNT de renoncer aux délais pour rechercher l'évaluation de la direction et que l'UNT n'a pas juridiction ni compétence pour renoncer à de telles délais. Unat a jugé que l'ignorance de la loi n'est pas une excuse et, bien qu'il soit regrettable que M. Nianda-Lusakueno ne s'appuyait sur la procédure de révision informelle, une telle dépendance n'a pas été considérée comme des circonstances exceptionnelles en vertu de la règle du personnel de l'OACI 111. 1, paragraphe 8. UNAT rejeté rejeté L'appel et affirmé la décision du Secrétaire général de l'OACI.
M. Nianda-Lusakueno a contesté la décision de ne pas prolonger son contrat. L’administration conjointe des appels (AJAB) a rejeté l’appel de M. Nianda-Lusakueno en tant que délai. Le secrétaire général de l'OACI a accepté la recommandation de l'Ajab et a nié la demande de M. Nianda-Lusakueno pour une renonciation au délai de dépôt de son appel.
L'article 8, paragraphe 3, de la loi UNDT doit être lu littéralement pour interdire à l'UNT de renoncer aux délais pour la recherche d'évaluation de la gestion. L'ignorance de la loi n'est pas une excuse pour les délais manquants.
Aucun soulagement ordonné; Aucun soulagement ordonné