ÍæÅ¼½ã½ã

UNDT/2010/053

UNDT/2010/053, Mmata

Décisions du TANU ou du TCNU

Les frais relatifs à l'utilisation non autorisée de la carte d'identité unon pour accéder aux locaux de l'ONU à Nairobi ont été correctement apportés. Cependant, avant qu'une conclusion ne soit atteinte, le décideur était tenu non simplement de se demander si, en question de fait, des achats en libre fisc abuser des privilèges et des immunités des Nations Unies ou s'il croyait véritablement, pour des raisons raisonnables qu'il avait le droit d'avoir accès au commissaire des Nations Unies. Sur la base des éléments de preuve, le tribunal a constaté qu'en équilibre des probabilités, le demandeur n'avait pas l'intention de frauder et, en tant que tel, l'intimé n'avait pas le fondement nécessaire pour prouver une accusation d'inconduite grave au sens du sens de la règle du personnel 110.1. Le demandeur a été injustement rejeté car l'accusation de faute grave n'a pas été fondée.

Décision Contestée ou Jugement Attaqué

Le demandeur a été employé au bureau du pays de l'UNICEF Kenya de 1990 à 2002 et a reçu une carte d'identité unon. En 2003, il a été réaffecté au bureau de l'UNICEF à Windhoek, en Namibie, mais a conservé sa carte d'identité Unon, qu'il avait utilisée pour accéder aux locaux Unon et au commissaire des Nations Unies. En septembre 2008, la carte d'identité Unon du demandeur a été confisquée par une sécurité Unon au motif que la carte n'était pas valide. Sur la base des résultats d'une enquête du Bureau de l'audit interne, l'UNICEF a informé le demandeur, par une lettre datée du 31 août 2009, qu'il devait être séparé du service sans préavis pour une faute grave, à savoir pour abus des privilèges des Nations Unies et des immunités En ce qui concerne son utilisation non autorisée du commissaire des Nations Unies. Le demandeur a contesté la décision de le séparer du service.

Principe(s) Juridique(s)

N / A

¸éé²õ³Ü±ô³Ù²¹³Ù
Jugement rendu en faveur du requérant en intégralité ou en partie
Texte Supplémentaire du ¸éé²õ³Ü±ô³Ù²¹³Ù

L'intimé est condamné à annuler sa décision et à rétablir le demandeur et à le payer pour des bénéfices perdus ou à indemniser le demandeur de perte de bénéfices de la date de sa séparation à la date du jugement et de le compenser au montant de deux ans «salaire de base nette.

Le Bureau de l'Administration de la Justice (BAJ) a préparé ce résumé de la jurisprudence a titre informatif seulement. Il ne s'agit pas d'un document officiel et il ne faut pas s'y fier comme une interprétation faisant autorité des décisions des Tribunaux. Pour les textes faisant autorité des décisions, veuillez-vous référer au jugement ou à l'ordonnance rendue par le Tribunal respectif. Les Tribunaux sont les seuls organes compétents pour interpréter leurs jugements respectifs, conformément à l'article 12(3) du Statut du Tribunal du Contentieux Administratif des Nations Unies (TCANU) et à l'article 11(3) du Statut du Tribunal d'Appel des Nations Unies (TANU). Toute inexactitude dans cette publication relève seulement la responsabilité du BAJ, qui doit être contacté directement pour toute demande de correction. Pour faire part de vos commentaires, n’hésitez pas à communiquer avec BAJ à oaj@un.org

Les résumés des jugements étaient généralement préparés en anglais. Ils ont été traduits en ¹ó°ù²¹²Ôç²¹¾±²õ et sont en cours d'examen pour en vérifier l'exactitude.