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UNDT/2025/007, MP

Le requérant s'est vu notifier la décision de rejeter sa demande pour négligence grave le 8 avril 2024, ce qui ne correspond pas à la définition de « décision administrative » au sens de l'article 2.1(a) du Statut du Tribunal. 2.1(a) du Statut du Tribunal.

La négligence alléguée des fonctionnaires des Nations Unies n'étant pas une cause d'action accessible aux membres du personnel et ne relevant pas de la compétence du Tribunal, le requérant ne pouvait pas introduire une plainte pour négligence grave.

Le requérant a été informé de la décision de rejeter sa demande pour négligence grave le 8...

La demande a été accueillie en partie.

Le Tribunal a annulé la mesure disciplinaire de cessation de service imposée au requérant et a ordonné sa réintégration ou, à titre subsidiaire, le versement d'une indemnité calculée sur la base de deux (2) années de salaire de base net.

Pour le reste, la décision du défendeur est AFFIRMÉE et les requêtes du requérant sont rejetées.

Appealed

L'UNDT a estimé que l'imposition d'une sanction n'est pas un simple exercice mécanique, puisque la sanction ne doit pas être « plus excessive qu'il n'est nécessaire pour obtenir le résultat souhaité.

Un blâme écrit aurait été une « conséquence significative » appropriée et suffisante pour faire comprendre au requérant l'erreur de ses actions. Le dossier indique que le requérant a reconnu qu'il aurait dû demander une autorisation avant d'enregistrer sa société.

Le Tribunal estime donc que la sanction en l'espèce était disproportionnée par rapport à la faute commise en ajoutant au blâme écrit une...

Appealed

le Tribunal se prononce en faveur de la requérante, en concluant qu'elle a agi de bonne foi dans ses efforts pour obtenir le traitement médical de son fils et dans la présentation subséquente des factures médicales pour remboursement.

Le Tribunal estime que la décision contestée mettant fin à l'emploi de la requérante était donc illégale.

Le fait qu'un enquêteur ait suivi le témoignage d'un témoin du défendeur pendant qu'elle témoignait est contraire aux normes éthiques et procédurales attendues d'un témoin. La décision de ne pas tenir compte de cette règle procédurale fondamentale démontre non...

En l'espèce, il y a manifestement absence de mens rea. Le défendeur n'a fourni aucune preuve pour étayer l'affirmation selon laquelle la requérante aurait illégalement fait de fausses déclarations ou aurait eu l'intention de frauder ou de tromper lors de la présentation de sa demande. La requérante n'a pas sciemment fait de fausses déclarations ou présenté des documents falsifiés. Elle a présenté un certificat de naissance contenant les noms et la profession des deux parents. Elle n'a pas menti en remplissant son questionnaire sur l'état de dépendance (formulaire P84), puisqu'elle a écrit qu...

Le Tribunal a estimé que les faits à l'origine de la sanction disciplinaire étaient prouvés par des preuves claires et convaincantes et qu'ils étaient très graves. La requérante a admis les faits sur la base desquels la sanction disciplinaire a été prononcée. Le Tribunal a rejeté les divers arguments de la requérante selon lesquels elle n'avait pas restitué les sommes déposées par erreur sur son compte personnel par l'UNFCU, estimant qu'il n'y avait aucune preuve que la requérante avait droit à l'annexe D ou à des prestations de séparation, et que le fait que l'UNFCU n'ait pas précisé qui...

Appealed

Le règlement intérieur du Tribunal d'appel (qui a également été approuvé par l'Assemblée générale) prévoit expressément que « les arrêts publiés comprennent normalement les noms des parties ». Même si les noms entraient dans la catégorie des « données à caractère personnel », il apparaît clairement que le Tribunal doit trouver un équilibre entre la nécessité de rendre des comptes et la nécessité de protéger les données à caractère personnel en fonction des circonstances de chaque affaire. Ce faisant, ce juge a pour pratique générale d'éviter d'utiliser des noms, autres que ceux des parties...

Appealed

L'interprétation des rapports médicaux pour déterminer la cause et l'étendue des incapacités médicales est l'essence même de la médecine légale et le résultat est clairement une détermination médicale.

Cet argument vise à ce que le Tribunal remette en question la conclusion de l'Administration selon laquelle l'appareil de radiographie n'est pas tombé sur le genou du requérant en 2017. Cela dépasse les compétences de ce Tribunal. Dans le cadre du contrôle judiciaire d'une décision administrative, le Tribunal doit s'en remettre aux conclusions factuelles de l'Administration et ne peut substituer...

Appealed

En ce qui concerne la décision de non-installation, le Tribunal a observé qu'au moment où le requérant a pris son service, les restrictions familiales à Naqoura (son lieu d'affectation) étaient en place depuis six semaines, et que les conditions avaient entraîné l'attribution au lieu d'affectation d'un classement spécial de difficultés « D ». L'existence d'un conflit armé et la détérioration de la situation en matière de sécurité rendaient dangereuse la présence de personnes à charge sur le lieu d'affectation. Par conséquent, la décision de ne pas amener la famille du requérant dans la zone...

Le Tribunal a noté que les éléments de preuve dont il disposait indiquaient que la décision contestée était contenue dans une lettre datée du 21 mai 2024. Le 30 mai 2024, le chef du bureau local de l'UNICEF ( » CFO ») a rencontré le requérant pour lui remettre en main propre la lettre de sanction, mais le requérant n'a pas signé de déclaration de réception. En conséquence, le CFO a noté : « Document lu au personnel le 30/05/2024, qui a ensuite refusé d'accuser réception de la lettre ». Le même jour, l'unité de droit administratif a envoyé la décision contestée au requérant par courrier...