UNDT/2017/084, Zama
En l'espèce, l'intimé a montré que trois postes P-5 disponibles ont été identifiés comme adaptés aux qualifications et à l'expérience du demandeur et qu'il a été invité à les postuler pour examen. Si le demandeur avait mis un pied dans la porte en postulant à l'un d'eux, alors l'étape suivante aurait été que le tribunal aurait été pour examiner si l'UNFPA a sélectionné un membre du personnel non permanent au-dessus du demandeur qualifié niant ainsi le demandeur des protections offertes Lui par le personnel règles 9.6 (e) et 13 (d). Les efforts de bonne foi des deux côtés signifient que les deux parties coopèrent pour identifier les postes appropriés pour lesquels le demandeur s'appliquerait, puis s'occuper de l'objectif commun de permettre audit demandeur de profiter de la considération et de la protection prioritaires dues en vertu des règles du personnel 9.6 (e) et 13 (d). Le demandeur ne pouvait pas s'attendre à profiter du traitement préférentiel en raison de lui après la restructuration et l'abolition des préposés à son poste s'il n'était pas disposé à demander des postes disponibles. En l'absence de toute démonstration d'intérêt par le requérant pour trouver une nouvelle position appropriée pour lui-même sur la suppression de son ancien poste, l'intimé n'avait aucune obligation de procéder unilatéralement pour le placer sur un nouveau poste même s'il était un personnel permanent membre. L'équité aide le vigilant.
Le demandeur a contesté la décision de l'intimé de mettre fin à sa nomination auprès de l'UNFPA.
L'obligation des efforts de bonne foi fait implicitement partie de la règle 9.6 (e). Le tribunal a également jugé que le fardeau de prouver que l'organisation a fait une recherche diligente repose sur l'organisation.