UNDT/2021/035, Guetgemann
La création, comme il n'est qu'en janvier 2019 que le demandeur a demandé l'évaluation de la direction de la décision de 2017 de la transférer à un nouveau poste, les exigences de création de cet aspect de sa demande n'ont pas été remplies. Sa demande d'évaluation de la gestion était trop tard. Il y a une logique à l'explication du demandeur, que ce n'est qu'au moment de la décision non renouvelable subséquente qu'elle a réalisé dans quelle mesure le transfert antérieur avait laissé sa vulnérable à la résiliation. Cependant, cela ne justifie pas que les dispositions strictes concernant les délais ne soient pas appliquées (Christensen 2012-UNAT-218; Osman 2011-UNAT-147). Par conséquent, l'aspect de l'application qui remet en question la décision de 2017 échoue comme non réceptable. Dépogement La séparation du demandeur du service le 31 décembre 2018 ne s'est jamais concrétisée. Les extensions de contrat sont restées le statu quo jusqu'à ce que la contestation de la décision non renouvelable de l'intimé soit devenue théorique le 13 mars 2020, lorsque le demandeur a été séparé pour des raisons de santé. Lorsque la décision non renouvelable a été dépassée par une séparation pour des raisons de santé, aucune blessure non renouvelable n'a été subie ou se poursuivant par la suite qui représenterait des «conséquences collatérales», ce qui empêche la conclusion de la solution. Alors que le demandeur se séparait de l'organisation pour des motifs de mauvaise santé et qu'il reçoive des prestations d'invalidité en conséquence, le tribunal ne peut, en droit, ordonner plus d'indemnisation.
La requérante a contesté la décision de l'intimé du 26 décembre 2018 de ne pas renouveler son rendez-vous à durée déterminée et les pratiques de gestion remontant à une époque avant le 18 décembre 2017, lorsqu'elle a été transférée à un poste qui a été abolie peu de temps après.
En vertu de la règle 11.2 du personnel, un membre du personnel souhaitant contester officiellement une décision administrative doit, dans la première étape, soumettre au secrétaire général par écrit une demande d'évaluation de la gestion. L'UNDT n'a aucune compétence pour renoncer aux délais pour l'évaluation de la gestion ou l'examen administratif (Muratore 2012-UNAT-191). L'espérance de renouvellement nécessite une promesse expresse par écrite pour être exécutoire. La dépendance à une simple affirmation verbale ne suffira pas (Igbinedion 2014-UNAT-411; Munir 2015-UNAT-522.). La preuve d'un engagement ferme est requise.