Le Tribunal a considéré que la requérante n'avait pas établi le préjudice irréparable requis. Tout d'abord, le Tribunal a noté que la requérante n'a pas fait valoir qu'elle risquait de perdre son emploi ou ses revenus, mais plutôt que son placement dans le programme ALWP était « préjudiciable et nuisible à son travail professionnel et à sa réputation ». Deuxièmement, en soutenant qu'elle « devrait rétablir laborieusement sa crédibilité et son autorité » et « réhabiliter » son image professionnelle, elle soutenait en fait que ces aspects pouvaient être réparés. Troisièmement, la requérante n'a...
Le Tribunal a d'abord ordonné que, conformément à la décision du Tribunal d'appel dans l'affaire Villamoran 2011-UNAT-160, la sélection contestée ne soit pas mise en œuvre pendant la durée de la présente procédure et avant qu'il n'ait statué sur toutes les questions de la présente affaire.
Le requérant ayant déposé sa requête auprès du Tribunal après que la sélection ait été mise en œuvre, la demande de suspension de l'action n'était donc pas recevable.
L'UNDT a estimé que l'imposition d'une sanction n'est pas un simple exercice mécanique, puisque la sanction ne doit pas être « plus excessive qu'il n'est nécessaire pour obtenir le résultat souhaité.
Un blâme écrit aurait été une « conséquence significative » appropriée et suffisante pour faire comprendre au requérant l'erreur de ses actions. Le dossier indique que le requérant a reconnu qu'il aurait dû demander une autorisation avant d'enregistrer sa société.
Le Tribunal estime donc que la sanction en l'espèce était disproportionnée par rapport à la faute commise en ajoutant au blâme écrit une...
En l'espèce, il y a manifestement absence de mens rea. Le défendeur n'a fourni aucune preuve pour étayer l'affirmation selon laquelle la requérante aurait illégalement fait de fausses déclarations ou aurait eu l'intention de frauder ou de tromper lors de la présentation de sa demande. La requérante n'a pas sciemment fait de fausses déclarations ou présenté des documents falsifiés. Elle a présenté un certificat de naissance contenant les noms et la profession des deux parents. Elle n'a pas menti en remplissant son questionnaire sur l'état de dépendance (formulaire P84), puisqu'elle a écrit qu...
Le règlement intérieur du Tribunal d'appel (qui a également été approuvé par l'Assemblée générale) prévoit expressément que « les arrêts publiés comprennent normalement les noms des parties ». Même si les noms entraient dans la catégorie des « données à caractère personnel », il apparaît clairement que le Tribunal doit trouver un équilibre entre la nécessité de rendre des comptes et la nécessité de protéger les données à caractère personnel en fonction des circonstances de chaque affaire. Ce faisant, ce juge a pour pratique générale d'éviter d'utiliser des noms, autres que ceux des parties...
Dans le contexte de la présente affaire, le Tribunal estime que les notifications électroniques de l'UMOJA concernant les relevés de temps et de présence du requérant, qui lui ont été automatiquement envoyées tous les mois pendant la période pertinente de quatre ans, n'étaient rien d'autre que des mises à jour de l'état de ses relevés de congés. Aucune de ces mises à jour ne constituait donc une décision administrative distincte et individuelle au sens de l'article 2, paragraphe 1, point a), de la directive. 2.1(a) du Statut du Tribunal du contentieux administratif contre lesquelles le...
Après avoir examiné toutes les observations et les preuves au dossier, le Tribunal a estimé que la principale question à trancher était de savoir si le responsable du recrutement avait procédé à une évaluation juste et impartiale de la candidature du requérant, en lui accordant une attention complète et équitable.
La feuille de calcul soumise par le défendeur en réponse à l'ordonnance n° 57 (GVA/2024) éclaire la question. Ce document contemporain montre l'évaluation approfondie de l'expérience professionnelle du candidat par le responsable du recrutement.
Les observations du candidat concernant...
Le Tribunal a observé que l’objectif de l’indemnité spéciale pour frais d’études semble être de garantir que les fonctionnaires qui ont des enfants ayant des besoins spéciaux reçoivent une aide pour faire face à certaines dépenses supplémentaires, en plus des dépenses normales, que les fonctionnaires peuvent engager pour éduquer ces enfants ayant des besoins spéciaux. Le Tribunal a conclu que, dans les circonstances, le demandeur était justifié de transporter son enfant handicapé aux cours de thérapie parascolaire et d'éducation spécialisée requis en utilisant son véhicule automobile privé. Le... |
Le Tribunal a noté que, comme le stipule l'art. 5.1 de la norme ST/AI/2017/1, « le BSCI conserve l’autorité ultime pour décider quelles affaires il examinera et déterminera si les informations reçues concernant une conduite insatisfaisante méritent une action ».
En conséquence, le Tribunal a considéré que la décision contestée était légale.
Étant donné que la décision du BSCI de ne pas ouvrir d’enquête constituait un exercice légitime du pouvoir discrétionnaire de l’Administration, rien ne justifiait de renvoyer cette affaire au Secrétaire général afin qu’il puisse prendre des mesures pour faire...
La principale question juridique soumise au Tribunal était de savoir si la décision de ne pas sélectionner le requérant pour le poste de réviseur P-4 (russe) était légale dans la mesure où sa candidature avait été examinée de manière complète et équitable.
Le Tribunal a estimé que les procédures applicables avaient été correctement suivies et que les allégations d’irrégularités procédurales formulées par le requérant n’étaient pas fondées.
En ce qui concerne l’examen complet et équitable, le Tribunal a noté qu’après avoir examiné les candidatures sur la base des critères d’évaluation établis...