Judge Murphy
Unat a jug¨¦ qu'il n'y avait pas de base juridique pour conclure que la soumission de l'appelant ¨¤ l'autorit¨¦ de gestion ou de supervision du directeur ¨¦tait ill¨¦gal. Unat a jug¨¦ que la d¨¦cision de refuser une restructuration propos¨¦e de la ligne de supervision pour s'adapter ¨¤ l'appelant reposait sur des pr¨¦occupations l¨¦gitimes rationnelles concernant la pr¨¦rogative de gestion, la coh¨¦rence structurelle et l'int¨¦grit¨¦ institutionnelle. UNAT a rejet¨¦ l'appel et a confirm¨¦ le jugement de l'UND.
UNAT a rejet¨¦ la requ¨ºte de l¡¯appelant pour d¨¦poser un plaidoyer suppl¨¦mentaire en l¡¯absence de circonstances exceptionnelles le justifiant. Unat a jug¨¦ que l'appelant n'avait pas demand¨¦ l'autorisation d'UNAT pour introduire des preuves suppl¨¦mentaires et que ce soit les preuves, les circonstances exceptionnelles ne le justifiaient ni ne serviraient les int¨¦r¨ºts de la justice ou la r¨¦solution efficace et rapide de l'appel. Sur la question de l'ex¨¦cution du jugement UND 2016, Unat a jug¨¦ qu'il n'y avait aucune preuve que les ordonnances qui y sont contenues n'¨¦taient pas ex¨¦cut¨¦es et que la...
Unat a not¨¦ que le membre du personnel d¨¦c¨¦d¨¦, M. Pise, n'aurait pas pu ¨ºtre sans illusion lorsqu'il a sign¨¦ les formulaires d'instructions de paie un avantage potentiel de survivant. Unat a not¨¦ qu'il avait ¨¦t¨¦ inform¨¦ de cette interpr¨¦tation deux fois apr¨¨s sa s¨¦paration et n'a pas contest¨¦ ces d¨¦terminations. Unat a jug¨¦ qu'il ne faisait aucun doute que M. Pise avait re?u les avantages qui lui ¨¦taient pay¨¦s en termes de r¨¦glementation du fonds et qu'il n'y avait aucune base pour offrir ¨¤ Mme Pise un survivant. UNAT a jug¨¦ que le fonds avait rendu obligation de l'informer de M. Pise des...
Unat a consid¨¦r¨¦ une demande de UNJSPB pour l'interpr¨¦tation du jugement n ¡ã 2019-UNAT-912 li¨¦ au calcul et au paiement des int¨¦r¨ºts. Unat a soutenu qu'il n'y avait rien de clair ou d'ambigu?t¨¦ dans les termes de l'ordre et que la demande d'interpr¨¦tation ¨¦tait inadmissible pour ces seuls motifs. UNAT a estim¨¦ que, en r¨¦alit¨¦, l'UNJSPB a cherch¨¦ ¨¤ faire appel du jugement au motif qu'UNAT a commis une erreur en faisant une attribution d'int¨¦r¨ºt, ce qui, selon UNJSPB, ¨¦tait incompatible avec ses r¨¨glements. Notant que les jugements de l'UNAT sont d¨¦finitifs et sans appel, Unat a jug¨¦ que cette...
En tant que question pr¨¦liminaire, Unat a accord¨¦ la requ¨ºte de l'appelant pour d¨¦poser des plaidoiries suppl¨¦mentaires sous la forme de soumission selon laquelle UNAT avait d¨¦cid¨¦ pr¨¦c¨¦demment que le MICT ¨¦tait une entit¨¦ secr¨¨te et ¨¦tait donc emp¨ºch¨¦ de se tenir au contraire. Sur le fond, Unat a jug¨¦ que l'appelant n'¨¦tait pas admissible ¨¤ une nomination continue pour trois raisons: (1) il n'a pas travaill¨¦ pour le Secr¨¦tariat; (2) le MICT n'avait pas le pouvoir d'accorder une nomination continue; et (3) il n'¨¦tait pas en service actif au Secr¨¦tariat dans le cadre d'une nomination ¨¤ dur¨¦e...
Unat a soutenu qu'il n'y avait aucune difficult¨¦ en principe concernant l'admissibilit¨¦ de la conversation secr¨¨tement enregistr¨¦e en fonction de la fa?on dont elle a ¨¦t¨¦ achet¨¦e, m¨ºme si elle a pu impliquer un ¨¦l¨¦ment de pi¨¦geage; Cependant, l'UNAT craignait que la valeur probante des preuves ne d¨¦pendait de la cr¨¦dibilit¨¦ d'une personne qui n'a pas t¨¦moign¨¦ devant l'UNDT. Unat a not¨¦ que le contenu des e-mails contemporains qui soutenait la transcription de la conversation t¨¦l¨¦phonique est rest¨¦ du ou?-dire ¨¤ moins qu'il ne soit confirm¨¦ par les auteurs ou les destinataires des e-mails et qu...
Unat a jug¨¦ que l'appelant ne faisait pas partie de la cat¨¦gorie exceptionnelle de participants qui exer?aient leur ¨¦lection pour une prestation de retraite diff¨¦r¨¦e avant le 1er avril 1997 et ont donc eu le droit de restaurer leur service contributif ant¨¦rieur, alors que l'appelant a exerc¨¦ son ¨¦lection en septembre 2009. UNAT Held Held que l'appelant n'avait pas le droit de restaurer son service de contribution ant¨¦rieur. Unat a jug¨¦ que la plainte de l'appelant selon laquelle elle n'avait pas acc¨¨s au r¨¨glement UNJSPF n'¨¦tait pas convaincante, ¨¦tant donn¨¦, entre autres, la disponibilit¨¦ des...
Unat a jug¨¦ que les preuves ¨¦taient claires et convaincantes que l'appelant ¨¦tait sous l'influence de l'alcool lorsqu'il est entr¨¦ dans sa voiture avant que l'accident ne se produise et que l'UNDT a commis une erreur en concluant le contraire. Unat a jug¨¦ que sa conduite ¨¦tait en violation du r¨¨glement 1.2 (f) du personnel et du code de conduite MINUSMA. Unat a soutenu que: il n'y avait aucune preuve enregistr¨¦e que l'appelant ¨¦tait autoris¨¦ ¨¤ porter son arme ¨¤ feu pendant son s¨¦jour; Cela, au contraire, les preuves enregistr¨¦es ont montr¨¦ que normalement les gardes de s¨¦curit¨¦ ne portaient...
Unat a consid¨¦r¨¦ un appel de Mme Modey-Ebi. UNAT a not¨¦ que les questions de l'appel ¨¦taient enti¨¨rement factuelles, dont la plupart ont ¨¦t¨¦ r¨¦solues dans le dossier de preuve qui, ¨¤ la plupart, a ¨¦tabli un mod¨¨le d'inconduite justifiant le licenciement. Unat a not¨¦ que si certaines des all¨¦gations prouv¨¦es contre Mme Modey-Ebi ¨¦taient moins graves que d'autres, cumulativement, ils ont r¨¦v¨¦l¨¦ un sch¨¦ma de conduite contraire ¨¤ l'¨¦thique indiquant que Mme Modey-Ebi n'¨¦tait pas adapt¨¦e au poste sup¨¦rieur qu'elle occupait. Son comportement a r¨¦v¨¦l¨¦ un manque de convenance et d'int¨¦grit¨¦ et son...
Unat a consid¨¦r¨¦ un appel de M. Ramsaroop, un appel du Secrteary-g¨¦n¨¦ral et un appel ¨¤ l'appel de Miksch et al. Alors que Unat a constat¨¦ qu'il ¨¦tait raisonnable pour l'UNT de soutenir que Miksch et al avaient une chance significative de s¨¦lection pour les postes, il a jug¨¦ que l'UNDT avait commis une erreur en ¨¦valuant l'occasion perdue pour M. Miyashiro, M. Miksch, M. Ramsaroop et M. Mazioui est durable jusqu'¨¤ leur retraite de l'organisation, et compensant en cons¨¦quence avec un plafond de deux ans de salaire net de base. UNAT a not¨¦ que ces candidats avaient eu une autre opportunit¨¦ de...
Unat a consid¨¦r¨¦ un appel de M. Mousa. En mati¨¨re de proc¨¦dure, Unat a constat¨¦ que les ¨¦l¨¦ments de preuve documentaire suppl¨¦mentaires pr¨¦sent¨¦s en appel ¨¦taient inadmissibles car M. Mousa n'avait pas d¨¦montr¨¦ de circonstances exceptionnelles et n'avait pas demand¨¦ d'autorisation pour pr¨¦senter les ¨¦l¨¦ments de preuve suppl¨¦mentaires qu'il devait faire en termes d'article 2 ( 5) du statut Unat. UNAT a rejet¨¦ l'appel. Unat a constat¨¦ que, m¨ºme si M. Mousa avait ¨¦t¨¦ disciplin¨¦ pour avoir travaill¨¦ pendant ses cong¨¦s de maladie de l'organisation et sans autorisation valide, il a de nouveau fait...
Unat a consid¨¦r¨¦ un appel du secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral. Unat a soutenu que le secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral avait raison d'attendre son temps et d'attendre le r¨¦sultat sur le fond avant de d¨¦terminer si un appel ¨¦tait n¨¦cessaire. Unat a jug¨¦ que l'appel du secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral n'¨¦tait pas barr¨¦ dans le temps. Unat a jug¨¦ que Undt avait commis une erreur en concluant que M. Arango ¨¦tait un ancien membre du personnel aux fins de la fondation de la comp¨¦tence sur la demande instantan¨¦e: au moment de la d¨¦cision contest¨¦e de ne pas le s¨¦lectionner, M. Arango avait ¨¦t¨¦ s¨¦par¨¦ du service pendant plus de deux Des ann¨¦es...
Unat a soutenu que, bien que le SAB puisse satisfaire aux exigences d'un processus de premi¨¨re instance neutre, sa d¨¦cision n'est que consultative ou recommandatoire. Unat a jug¨¦ que les faits ne r¨¦v¨¦laient pas si le secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral de l'OMI avait le pouvoir de modifier les pouvoirs du SAB r¨¦trospectivement pour permettre au SAB de prendre une d¨¦cision plut?t qu'une recommandation ou, plus pertinente, par la Fiat ult¨¦rieure, de convertir un recommandation de SAB dans une d¨¦cision. Unat a jug¨¦ que la source du pouvoir du Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral d'introduire des mesures provisoires n'¨¦tait pas...
Appels rejet¨¦s, les jugements undt ont confirm¨¦. Les tribunaux n¡¯ont pas de r¨¦vision des d¨¦cisions ICSC, ils ont comp¨¦tence pour revoir le pouvoir m¨¦canique du Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral dans la mise en ?uvre de telles d¨¦cisions pour des motifs ¨¦troits de l¨¦galit¨¦. La d¨¦cision ICSC d'ajuster l'¨¦chelle salariale et le multiplicateur d'allocation post-ajustement n'¨¦taient pas une d¨¦cision r¨¦visable. La mise en ?uvre par le Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral de cette d¨¦cision ¨¦tait une d¨¦cision administrative car ce n'¨¦tait pas une politique g¨¦n¨¦rale, mais avait un impact individuel d¨¦favorable par membre du personnel...
Unat a convenu que le d¨¦lai de demande d'¨¦valuation de la gestion contre une d¨¦cision administrative commence une fois qu'un membre du personnel a ¨¦t¨¦ inform¨¦ de la d¨¦cision par ¨¦crit et, dans des conditions claires et sans ¨¦quivoque ¨¦taient de simples r¨¦it¨¦rations de la d¨¦cision ant¨¦rieure, et un membre du personnel ne peut pas r¨¦initialiser le temps de r¨¦vision de la direction en demandant une confirmation d'une d¨¦cision administrative qui lui a ¨¦t¨¦ communiqu¨¦e plus t?t. La date ne peut pas ¨ºtre fix¨¦e unilat¨¦ralement par le membre du personnel, et en tant que tel, il ne peut pas s'agir de la...
Unat ¨¦tait d'accord avec la conclusion de l'UNDE qu'il manquait de comp¨¦tence en ce qui concerne la demande du membre du personnel pour examiner la d¨¦termination du deuxi¨¨me pr¨¦sident suppl¨¦ant. Unat a not¨¦ que la comp¨¦tence en la mati¨¨re de UNDT est limit¨¦e ¨¤ l'examen des d¨¦cisions administratives. Les d¨¦terminations du deuxi¨¨me pr¨¦sident alternatif ne constituent pas des d¨¦cisions administratives et, ¨¤ ce titre, toute demande pour les revoir avant l'UNDT n'est pas ¨¤ recevoir. Unat a soulign¨¦ que ST / SGB / 2017/2 / Rev.1 conf¨¨re au bureau d'¨¦thique que le pouvoir de recommander, de...
UNAT a rejet¨¦ l¡¯appel du Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral et a accord¨¦ en partie l¡¯appel du membre du personnel. Unat a constat¨¦ que l'UNDT ait correctement pris en compte plusieurs faits qui ¨¦taient pertinents pour d¨¦terminer s'il y avait eu une exploitation sexuelle et une abus de vuln¨¦rabilit¨¦ ou de confiance. Le tribunal a estim¨¦ que le fardeau de l¡¯administration devait montrer des preuves claires et convaincantes que la conduite du membre du personnel est tomb¨¦e dans l¡¯une des cinq cat¨¦gories suivantes: (i) il a abus¨¦ d'un poste de vuln¨¦rabilit¨¦ ¨¤ des fins sexuelles; (ii) il a abus¨¦ d'une position de...
Le membre du personnel a d¨¦pos¨¦ un appel ¨¤ l'UNAT en faisant valoir qu'elle a non seulement contest¨¦ la retenue de son augmentation de salaire, mais elle a ¨¦galement contest¨¦ les raisons de la d¨¦cision administrative. Elle a affirm¨¦ que le JAB n'avait pas examin¨¦ s'il y avait des motifs inappropri¨¦s derri¨¨re la d¨¦cision administrative. UNAT a rejet¨¦ l'appel, affirmant que les r¨¦clamations relatives ¨¤ l'augmentation du salaire ¨¦taient incontestablement sans but. Elle a obtenu le soulagement qu'elle avait initialement demand¨¦ et, par cons¨¦quent, son appel ne pr¨¦sentait plus une controverse...
Unat a jug¨¦ que l¡¯UNDT conclut que le d¨¦fi ¨¤ la d¨¦cision du Secr¨¦taire g¨¦n¨¦ral de ne pas renoncer ¨¤ l¡¯immunit¨¦ de M. Dolgopolov n¡¯¨¦tait pas ¨¤ recevoir au motif qu¡¯il s¡¯agissait d¡¯une d¨¦cision ex¨¦cutive / politique est incorrecte. Unat a toutefois d¨¦tenu que UNT avait raison de trouver les demandes de M. Dolgopolov non ¨¤ recevoir, mais pour d'autres raisons. Unat a jug¨¦ que les demandes de M. Dolgopolov n'¨¦taient pas ¨¤ recevoir, car il n'a pas renvoy¨¦ la d¨¦cision contest¨¦e concernant sa demande de poursuivre l'ambassadeur ukrainien ¨¤ l'¨¦valuation de la direction, et la d¨¦cision concernant les...
Unat a jug¨¦ que Undt a constat¨¦ correctement que la non-extension de la nomination temporaire de M. Houenou ¨¦tait un bon exercice de discr¨¦tion ¨¤ la lumi¨¨re de la situation budg¨¦taire de la mission.