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M. Jibril a fait appel.

En ce qui concerne la demande d'audience, l'UNAT a estimé que les questions factuelles et juridiques soulevées par cet appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'était pas nécessaire de fournir des éclaircissements supplémentaires. De plus, une audience ne contribuerait pas à régler l’affaire de manière rapide et équitable, comme l’exige l’article 18(1) du Règlement intérieur du TANU. En conséquence, la demande d'audience est rejetée.

L'UNAT a convenu avec le DT de l'UNRWA que la décision administrative contestée de placer M. Jibril en congé...

M. Hassan a fait appel du jugement du Tribunal.

L'UNAT a estimé que l'appelant n'avait pas démontré que le Tribunal avait commis une erreur en concluant que sa requête n'était pas recevable ratione personae. L'UNAT a conclu qu'au moment de la décision de non-sélection contestée, le requérant avait cessé ses fonctions depuis plus d'un an et n'était plus membre du personnel. Il s'agissait d'un candidat externe qui n'avait pas qualité pour contester la décision de ne pas le sélectionner pour le nouveau poste d'associé à la réinstallation, dans la mesure où la décision n'affectait pas ses anciens...

L’UNAT a d’abord rejeté la demande d’audience de M. Guenfoudi.

L'UNAT a conclu qu'en tant que membre de longue date du Secrétariat, M. Guenfoudi était conscient des normes de performance requises pour sa fonction de traducteur verbatim. L'UNAT a également estimé qu'il avait eu une possibilité équitable de remédier à ses lacunes en matière de performances, mais il a refusé de participer aux deux plans d'amélioration des performances. L’UNAT a estimé que le cadre juridique de l’Organisation indiquait clairement que le licenciement était une mesure prévisible après deux années consécutives de...

Mme Mkhabela a fait appel.

En ce qui concerne la recevabilité ratione temporis, l'UNAT a estimé que le RC ne pouvait pas être considéré comme ayant légalement prolongé les délais de dépôt d'une demande de contrôle hiérarchique. Outre le fait qu’il n’existe aucune preuve d’une telle promesse, la vérité est que le CR ne disposait pas d’un tel pouvoir, qui est uniquement conféré au Secrétaire général, comme le prescrit l’article 11.2(c) du Règlement du personnel. De même, l'affirmation de Mme Mkhabela selon laquelle elle n'a pas été informée des raisons ou de la décision de s'écarter du plan de...

L'UNAT a rejeté à la fois l'appel et l'appel à travers. En ce qui concerne l'appel croisé du Secrétaire général contre la décision de la réception de l'UNT, l'UNAT a jugé que l'UNDT avait raison de ne pas rejeter les réclamations comme irréalisables, mais d'enquêter sur leurs mérites. En ce qui concerne les mérites, l'UNAT a noté que les prestations de décès en vertu des règles ne sont pas payables aux bénéficiaires nommés par un membre du personnel, mais aux bénéficiaires désignés tels que définis par les règles du personnel (c'est-à-dire le conjoint survivant ou les enfants à charge). L'UNAT...

L'UNAT a jugé que les questions factuelles et juridiques résultant de cet appel ont déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'est pas nécessaire de clarifier davantage par le biais d'une audience orale. L'UNAT a constaté que l'UNDT n'avait commis aucune erreur lorsqu'elle a constaté que la demande du membre du personnel était une rationne materiae irrécouvrable. L'UNAT a noté que l'UNDT avait correctement jugé que le membre du personnel avait connaissance du présumé licenciement constructif à la date qu'il a réitéré sa démission, soit au plus tard lorsque l'UNICEF a accepté sa...

L'UNAT a jugé que l'UNDT n'avait pas commis une erreur en jugeant qu'il y avait eu des preuves claires et convaincantes que le membre du personnel avait harcelé d'autres membres du personnel sur une période de temps substantielle et que ce comportement constituait une mauvaise conduite sérieuse. L'UNAT a affirmé qu'il y avait des preuves claires et convaincantes pour soutenir les sept allégations selon lesquelles Mme Iram a utilisé un langage abusif, fait des remarques insultantes, crié et victime d'intimidation, engagé dans un contact inapproprié et établi des contacts indésirables avec des...

2022-UNAT-1263, AAB

UNAT a rejeté l'appel. En tant que question préliminaire, Unat a refusé la demande d'AAB pour une audience orale au motif qu'il n'avait pas besoin de clarification supplémentaire, car les questions factuelles et juridiques résultant de l'appel avaient déjà été clairement définies par les parties, et une audience orale ne contribuerait pas à L'élimination rapide et équitable de l'affaire. UNAT a rejeté l'AAB affirmer que son droit à un procès équitable avant que l'UNDT avait été violé parce que, car la demande a été jugée à recevoir, et elle s'est vu refuser la possibilité de déposer une...

M. Zeid a fait appel. En tant que question préliminaire, Unat a rejeté la demande de M. Zeid pour une audience orale concluant que les questions factuelles et juridiques résultant de l'appel avaient déjà été clairement définies par les parties; et qu'une audience orale n'aiderait pas à l'élimination rapide et équitable de l'affaire ". Unat a jugé que l'UNRWA DT a conclu correctement qu'il n'y avait aucune preuve d'une demande d'examen de la décision, que les échanges par e-mail où M. Zeid avait fait des enquêtes concernant les raisons de la décision contestée n'étaient pas une demande de...

M. Branglidor a fait appel. Unat a constaté que la totalité des preuves a confirmé la conclusion de l'UNDT selon laquelle M. Branglidor était bien conscient de la mensonge des formulaires lorsqu'il a soumis la deuxième réclamation pour le décaissement régulier de la subvention de l'éducation. UNAT a été satisfait que l'UNDT avait raison lorsqu'il a jugé que l'acte d'inconduite était commis avec connaissance et intention. Même si l'inconduite n'a conduit à aucun préjudice réel, puisque l'administration a récupéré le paiement effectué à l'avance et n'a payé aucune subvention d'enseignement...