L’avocat de l’intimé a déposé une requête demandant une prolongation du délai pour déposer la réponse de l’intimé pour plusieurs motifs, y compris les exigences de service. L'intimé a été enjoint de soumettre une demande appropriée demandant qu'il soit autorisé à participer à la procédure. La détermination de savoir s'il allait être autorisé à déposer une réponse allait être pris à la lumière de la requête de l'intimé.
Dans le cas présent, l'administration doit être considérée comme ayant fait des efforts de bonne foi pour identifier un poste pour le demandeur, car il lui a en fait offert une position adéquate. Pour qu'un poste soit considéré comme adéquat, il n'est pas suffisant qu'il soit au même niveau que le poste précédent du membre du personnel concerné. Il est également nécessaire que cela soit conforme à ses compétences, ses qualifications et son expérience. Quiconque alléguait qu'une décision donnée était fondée sur une mauvaise motivation porte le fardeau de la preuve. Résultat: la demande a été...
Le demandeur n'avait pas d'espérance légitime de renouvellement. Aucune promesse expresse de l'administration n'a pu être trouvée. S'il y en avait un, les lettres de nomination signées par le demandeur indiquent explicitement que les nominations à durée déterminée ne portent aucune espérance de renouvellement. Aucune promesse ne pourrait l'emporter sur les paroles claires des lettres de nomination signées par la suite. On ne peut dire que la décision non renouvelable était fondée sur des motivations inappropriées ou constituait autrement un abus de pouvoir discrétionnaire. L’organisation ne...
Le Tribunal a constaté que la décision de réaffecter le demandeur était un exercice illégal ou le pouvoir discrétionnaire de l'administration parce que, bien que la décision soit basée sur sa mauvaise performance présumée, la performance du demandeur n'avait jamais été évaluée conformément aux procédures établies. La décision ultérieure de ne pas renouveler son contrat a été imparfaite pour la même raison. Alors que la raison officielle donnée était que la requérante n’a pas accepté le poste proposé ou postulé pour un autre, le tribunal a constaté que la décision non renouvelable était motivée...
Le tribunal a constaté que l’imposition initiale de la réprimande était justifiée sur la base des défaillances de supervision admis du demandeur. Cependant, le tribunal a constaté que le retrait et la réintégration ultérieure de la réprimande étaient inappropriés, tout comme la décision de transférer le demandeur de son poste. Le Tribunal a ordonné aux parties de conférer la question de la rémunération.
L'intimé devait agir dans le meilleur intérêt de l'organisation, lors de la réaffectation du demandeur, et il était principalement pour l'intimé en tant que directeur administratif de l'organisation, conformément à l'art. 97 de la Charte des Nations Unies, pour définir quels étaient ces intérêts dans le contexte de l'administration de l'organisation Résultat: pour les répondants (mérites).