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Le TANU a noté qu'au vu des multiples demandes concurrentes de transfert latéral, l'agent n'avait pas été l'un des candidats recommandés et sélectionnés pour le poste parce que ses responsabilités étaient différentes des fonctions du poste demandé, et que l'Agence recherchait des candidats plus familiers avec ces fonctions.

Le TANU a estimé qu'en vertu des dispositions légales régissant les transferts latéraux, lues ensemble et non séparément, l'Agence avait été autorisée à fonder son évaluation sur l'aptitude des candidats à occuper le poste plutôt que sur l'ancienneté, les raisons impérieuses...

Le TANU a noté qu'avant que le requérant ne devienne membre du personnel, il avait été employé par l'UNRWA en tant que personnel complémentaire n'ayant pas le statut de membre du personnel et qu'il n'avait droit à aucune prestation au-delà de ce qui avait été établi pour les travailleurs rémunérés à la journée. Le TANU a observé que ni ses contrats de service à la journée ni un échantillon de contrats de service à la journée applicables à l'époque ne mentionnaient le paiement d'une quelconque indemnité à l'expiration.

Le TANU a constaté qu'à chaque expiration du contrat de services journaliers...

Le TANU a estimé que le DT de l'UNRWA avait identifié à juste titre que la norme de preuve pour placer l'agent en ALWOP était qu'il y ait des soupçons raisonnables ou des motifs raisonnables de croire que l'agent avait commis la faute alléguée.

Le TANU a rejeté l'argument de l'agent selon lequel le retrait par son ex-femme de la plainte déposée contre lui devant une juridiction nationale aurait dû mettre un terme à toutes les enquêtes menées à son encontre. Le TANU a noté que le tribunal national avait fourni les dossiers de l'affaire à l'Agence et que celle-ci, après une évaluation complète...

Le Tribunal d'appel a estimé, en ce qui concerne l'exclusion de M. Qasem de la considération pour le poste de chef intérimaire, que le DT de l'UNRWA avait commis une erreur en estimant que la candidature de M. Qasem n'était pas recevable.Le Tribunal d'appel a toutefois estimé que, dans les circonstances de l'espèce, il était dans l'intérêt de l'économie judiciaire de réexaminer l'affaire sur le fond sans renvoi.Le Tribunal d'appel a estimé que si l'administration avait illégalement exclu la candidature de M. Qasem de l'examen, cette irrégularité n'avait eu aucune incidence sur la décision de...

L'UNAT a examiné un appel interjeté par le fonctionnaire.

L'UNAT a estimé que le raisonnement suivi par le DT de l'UNRWA pour refuser une audience parce que le fonctionnaire n'avait pas établi que son recours était recevable était ex post facto et, par conséquent, erroné.

L'UNAT a constaté qu'il y avait une erreur dans le calcul de l'indemnité par le DT de l'UNRWA en remplacement de l'annulation de la décision de non-sélection, car il n'y avait aucune preuve pour étayer la conclusion selon laquelle l'UNRWA l'aurait jugé inapte à occuper ce poste à la fin de la période. période de probation.

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L'UNAT a examiné un appel de M. Al Othman contre le jugement de l'UNRWA n° UNRWA/DT/2020/073. Elle a également examiné un appel incident du Commissaire général de l'UNRWA, dans la mesure où le jugement a accordé une indemnisation à M. Al Othman. L'UNAT a estimé qu'il existait des preuves claires et convaincantes établissant que M. Al Othman avait commis les infractions alléguées. Les conclusions de l'UNRWA DT étaient exactes, fondées sur des éléments de preuve versés au dossier et de notoriété publique, et l'UNAT n'a trouvé aucune raison de s'écarter de ces conclusions. L'UNAT partageait le...

L'UNAT a décidé que des erreurs dans la manière dont la décision de licenciement sommaire avait été communiquée au requérant n'affectaient pas le fait que la véritable décision avait finalement été prise par la personne compétente du Commissaire général et non par une autorité déléguée. Il est incontestable que M. Mohammad n’a pas eu la possibilité de commenter les éléments de preuve supplémentaires produits contre lui après la réouverture de l’enquête (deux entretiens avec la mère de l’élève B et l’élève B). Cependant, ni dans son appel ni dans sa demande initiale auprès du DT de l'UNRWA, il...

M. Jibril a fait appel.

En ce qui concerne la demande d'audience, l'UNAT a estimé que les questions factuelles et juridiques soulevées par cet appel avaient déjà été clairement définies par les parties et qu'il n'était pas nécessaire de fournir des éclaircissements supplémentaires. De plus, une audience ne contribuerait pas à régler l’affaire de manière rapide et équitable, comme l’exige l’article 18(1) du Règlement intérieur du TANU. En conséquence, la demande d'audience est rejetée.

L'UNAT a convenu avec le DT de l'UNRWA que la décision administrative contestée de placer M. Jibril en congé...

Unat a jugé que l'UNRWA DT exerçait son pouvoir discrétionnaire pour poursuivre le jugement sommaire légalement et de manière appropriée. Unat a jugé que l'UNRWA DT avait commis une erreur lorsqu'elle a décidé que la demande de l'appelant n'était pas à recevoir Ratione Materiae. UNAT a noté que l'affaire était presque identique à Oussama Abed & Eman Abed c. Commissaire général de l'Agence des Nations Unies pour Relief and Works pour les réfugiés palestiniens du Proche-Orient (jugement n ° 2022-UNAT-1297). Conformément à ce jugement, Unat a jugé que le placement d'une lettre rappelant à l...

UNAT a noté que l'analyse de l'UNRWA DT sur la question de savoir si M. Faour avait demandé en temps opportun l'examen de la décision de ne pas renouveler son contrat, l'UNRWA DT s'est concentré sur la lettre omnibus de M. Faour (du 17 décembre 2018) à son supérieur contenant de nombreuses plaintes, y compris une demande pour examen de son examen des performances, mais aucune demande d'examen de la décision contestée (la non-renouvellement de son contrat). Unat a cependant constaté que d'autres correspondances de M. Faour qui étaient dans les 60 jours statutaires pour demander un examen de la...