Notant que le demandeur avait concédé que sa demande avait été déposée après le délai énoncé dans l'art. 8.1 (d) (i) (b), le tribunal a conclu que la demande n'était pas à recevoir rationae tempis car le demandeur n'avait pas respecté la date limite de dépôt de 90 jours établie dans l'art. 8.1 (d) du statut UNDT. Le tribunal a ensuite délibéré sur l’affirmation du demandeur selon laquelle sa demande est à recevoir en raison de l’interprétation de l’art. 8.1 (d) (i) (b) est injuste pour les membres du personnel car il favorise une administration qui n'a pas répondu aux demandes d'évaluation de...
Après avoir reçu les allégations d'inconduite le 9 juillet 2014, le requérant a répondu le 21 août 2014. La décision d'imposer une sanction disciplinaire au demandeur lui a été communiquée le 4 décembre 2014. Ainsi, un examen de l'ensemble de la cause contre la Le demandeur et la communication avec lui du résultat ont pris un peu plus de trois mois. Cette période n'était pas déraisonnable et ne constituait pas une violation de la procédure régulière. Sur les faits devant le Tribunal, le demandeur n’a ajouté aucune preuve pour donner au tribunal une base pour examiner l’exercice de pouvoir...
Le tribunal a jugé que les actions intentionnelles du demandeur équivalaient à une faute. Bien que le demandeur n'ait pas reçu d'argent de la compagnie d'assurance maladie, le simple fait qu'il ait tenté de frauder l'entreprise en soumettant sciemment de fausses informations constituait une violation du règlement 1.2 (b) du personnel et équivalait à une faute. Alors que le demandeur a soutenu que son licenciement était disproportionné, en particulier compte tenu de ses 17 années de service à l'organisation et de sa performance satisfaisante continue, le tribunal a jugé que la mesure...
À la lumière de l'accord des parties, le tribunal a donc rendu le jugement comme suit: a) Le demandeur serait payé quatre mois de salaire net de base au niveau qu'il était gré être payé huit mois de salaire net de base au niveau qu'il a gêné avant sa séparation du service le 9 août 2013, moins l'équivalent USD de 59 000 euros calculé comme indiqué ci-dessous. c) Conformément à la règle 106.5 (a) des réglementations et règles financières des Nations Unies, le taux d’échange opérationnel, tel que créé par le sous-secrétaire général pour la gestion, serait utilisé pour enregistrer toutes les...
Un assaut contre un collègue dans le cadre des travaux constitue une faute, quel que soit le type de contrat ou de nomination. Les preuves directes des déclarations écrites, confirmées par de fortes preuves circonstancielles produites à la fois dans l'enquête et lors de l'audience, constituent cumulativement une concaténation claire et convaincante des preuves établissant, avec un degré élevé de probabilité, que l'inconduite présumée se produisait en fait. Dans le cas du demandeur, alors que le tribunal ne serait pas enclin à compter fortement sur les «témoins de caractère» entendus de manière...
L'administration, contrairement à ses propres politiques, a pris en compte le titre fonctionnel du demandeur uniquement sans considérer ses fonctions réelles vis-à -vis des autres postes P-4 dans le JAOC. En négligeant de regarder au-delà du titre fonctionnel du demandeur, l'administration a déterminé illégalement que le demandeur serait soumis à une coupe à sec. De manière significative, le demandeur a tenu un rendez-vous continu. Ainsi, en appliquant les lignes directrices de l'UNMIL au cas présent, le demandeur aurait dû être automatique rendez-vous continus. Par exemple, il y avait un...
La décision contestée n'a fait partie des exceptions; Le demandeur était donc tenu de soumettre une demande d'évaluation de la gestion. Il ne l'a pas fait. Ainsi, la demande n'était pas à recevoir.
À la lumière de l’acceptation par l’intimé des conclusions du bureau d’éthique des Nations Unies selon lesquelles le superviseur du demandeur avait engagé des actes de représailles contre le demandeur, le tribunal n’a pas examiné ou fait des conclusions sur la question de la responsabilité pour les représailles. L’examen du Tribunal était limité à la question de la rémunération. Le Tribunal a rejeté l’affirmation du demandeur selon laquelle l’annulation de son E-PAS et l’écadation d’en délivrer rapidement une autre ont affecté négativement sa capacité à trouver un autre emploi au service de l...
Le requérant n'avait trouvé aucune preuve documentaire montrant que le Secrétaire général a envisagé et pris une décision administrative concernant sa demande de négligence grave. La seule preuve qu'il avait produite a été à l'effet qu'il a demandé à l'ABCC d'envisager de l'indemniser pour une négligence grave au-delà de l'attribution pour compensation pour des blessures subies dans le cadre des droits. Le demandeur a déposé sa demande d'indemnisation pour négligence grave en vertu d'une procédure qui avait été jugée irrégulière pour ne pas avoir été soutenue par aucun règlement du personnel...
En ce qui concerne le GJO n ° 425940, le tribunal a constaté que le demandeur avait été informé le 19 février 2014 que sa demande avait échoué. Le demandeur n'a demandé l'évaluation de la gestion de cette décision que plus de quatre ans plus tard. Par conséquent, le tribunal a jugé que la réclamation relative au GJO n ° 425940 n'était pas à recevoir ratione materiae et il a été rejeté. Pour le GJO n ° 76109, le tribunal a jugé que le requérant n'avait pas satisfait sa charge de preuve à montrer par des preuves claires et convaincantes que l'administration n'avait pas donné à sa candidature...